Au Moyen-Âge, le ginseng sauvage, par sa rareté, était réservé à l’Empereur et à quelques privilégiés.
Cueilli exclusivement dans les « Réserves Impériales », son braconnage était puni de décapitation. Dès le 14ème siècle, les Coréens excellent dans la culture du ginseng de qualité, très recherché aujourd’hui.
Le ginseng rouge de Corée est très réglementé et sa récolte est contrôlée par l’État qui en surveille la qualité pour en préserver sa réputation. Les procédés traditionnels de culture, de récolte et de traitement sont également surveillés avec beaucoup d’attention.